Dans les propositions avancées pour son plan climat, la mairie de Paris avait déjà annoncé qu'elle souhaitait interdire la circulation des voitures diesel dans la capitale à partir de 2024...
Dans les propositions avancées pour son plan climat, la mairie de Paris avait déjà annoncé qu'elle souhaitait interdire la circulation des voitures diesel dans la capitale à partir de 2024...
Jeudi dernier, la mairie de Paris a déclaré vouloir interdire également tous véhicules thermiques (En d'autres termes : Les moteurs essence aussi) dans ses rues, à l'horizon 2030.
Si ces mesures sont adoptées, elles devraient concerner environ 40 % de franciliens (Qui possèdent un véhicule individuel).
Pour palier aux besoins de déplacements, Paris compte sur le développement des véhicules électriques et sur l'aménagement programmé à venir des nouveaux transports en commun du « Grand Paris ».
Que l'on approuve ou non cette démarche, je pense qu'il s'agit toutefois d'un projet très ambitieux et courageux, car il va nécessairement se heurter à de nombreux mécontentements (Usagers et industries automobiles) ; Alors que pourtant, il semble désormais acquis que les véhicules thermiques contribuent très nettement à la prolifération des gaz à effet de serre, sans compter les dommages sanitaires provoqués par les émissions de particules fines.
Pour autant, j'ai quand-même quelques doutes dans sa concrétisation : Comment va-ton faire pour les transports lourds (Camions de livraisons par exemple) ou encore pour les 2 roues (Qui constituent un moyen pratique pour se déplacer dans les grandes villes et dont le développement électrique balbutie à peine) ?
Si ces mesures sont adoptées, elles devraient concerner environ 40 % de franciliens (Qui possèdent un véhicule individuel).
Pour palier aux besoins de déplacements, Paris compte sur le développement des véhicules électriques et sur l'aménagement programmé à venir des nouveaux transports en commun du « Grand Paris ».
Que l'on approuve ou non cette démarche, je pense qu'il s'agit toutefois d'un projet très ambitieux et courageux, car il va nécessairement se heurter à de nombreux mécontentements (Usagers et industries automobiles) ; Alors que pourtant, il semble désormais acquis que les véhicules thermiques contribuent très nettement à la prolifération des gaz à effet de serre, sans compter les dommages sanitaires provoqués par les émissions de particules fines.
Pour autant, j'ai quand-même quelques doutes dans sa concrétisation : Comment va-ton faire pour les transports lourds (Camions de livraisons par exemple) ou encore pour les 2 roues (Qui constituent un moyen pratique pour se déplacer dans les grandes villes et dont le développement électrique balbutie à peine) ?