L’objectif était de remplacer progressivement les quelques 300 millions de documents et 110 modèles existant au sein des 28 Etats membres, un objectif de taille que le ministère de l’intérieur pense toujours poursuivre, mais en abandonnant malheureusement les puces électroniques. D’après le ministère de l’intérieur, le nouveau titre coûterait entre 25 et 30 euros à fabriquer. Dans tout cela, la puce électronique coûterait 2,40 euros, soit près de 16% du prix de production de la carte. En écartant cette dépense, l’Etat pourrait alors économiser dans les 6 millions d’euros par an.